Quand deux vieux potes se retrouvent, les choses ne se passent pas comme prévu (logan)
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Sujet: Quand deux vieux potes se retrouvent, les choses ne se passent pas comme prévu (logan) Mar 13 Fév - 21:17
Quand deux vieux potes se retrouvent, Les choses ne se passent pas comme prévu.
Les journées calme se ressemblaient de plus en plus, ce qui n'était pas pour déplaire, après tout ce qu'ils s'étaient passé depuis ses derniers temps, c'était relaxant. Malheureusement cette accalmie ne durerait pas éternellement. Je craignais le jour où la chance tournerait.
Faisant quelques courses pour remplir le frigo, je prenais mon temps, rien ne pressais réellement. Le temps bien que froid était clair, j'avais donc revêtu un simple blazer. Restant toujours sur mes gardes, réflexe qui était devenu une seconde nature. Je passais devant un café, décidant de m'y arrêter, je poussais la porte avant de m'installer à une table.
« Logan Wolfskin »
Âge : 41 Date d'arrivée : 29/01/2018 Mots débités : 159 Popularité : 223 Où te trouves-tu : Who knows ? Emploi/étude : Propriétaire et Gérant de "Tortuga" / Pompier volontaire Humeur : It's not a bad life, just a bad day.
Sujet: Re: Quand deux vieux potes se retrouvent, les choses ne se passent pas comme prévu (logan) Jeu 15 Fév - 9:39
Steven & Logan
Quand deux vieux potes se retrouvent...
La monotonie du quotidien de Logan était affligeante depuis qu’il avait procédé à la rénovation et à l’ouverture de son club. Ses pensées et ses souvenirs le rattrapaient et le hantaient sans cesse. Manque d’activité. Manque de projet. Manque d’occupations pour oublier. Tout oublier. Il se levait chaque matin avec le soleil, allait courir un peu pour déjà se vider la tête de ses nombreux cauchemars, rentrait, se douchait, buvait trop de café, fumait trop de cigarettes, contrôlait ses mails, contrôlait les messages vocaux de son avocat, retrouvait des photos de sa femme, de son fils, dans son téléphone et ne souhaitait alors plus qu’une chose : disparaitre. Toujours le même schéma. Toujours les mêmes erreurs. Généralement, il poussait un profond soupire, se rallumait une cigarette, préparait ses affaires et quittait son appartement pour être obligé de faire bonne figure.
Ce jour-là, il avait passé la matinée au club, à préparer la décoration de la soirée de St-Valentin. Il ne voulait pas trop en faire, mais il se sentait obligé tout de même de marquer le coup. Fête commerciale oblige, pas vrai ? Vers 14h00, en ayant ras-le-bol des petits cœurs, des pétales de roses et autres mièvreries romantiques, il sortit pour aller se chercher un énième café. Il rentra dans l’échoppe, attendit son tour, commanda son café bien serré et, en attendant qu’il soit servi, parcouru la salle du regard. Ses yeux s’arrêtèrent sur un homme, au fond de la salle près de la vitre, casquette sur la tête et l’air préoccupé. Un large sourire fendit le visage de Logan. Il attrapa son café, prêt, d’un air distrait avant de s’avancer vers l’homme. « Je n’arrive pas à le croire ! » L’homme releva la tête. Grimace bougonne qu’il ne connaissait que trop bien, avant de réaliser qui s’adressait à lui. « Steven. Ça fait tellement longtemps ! » Une accolade était de rigueur. Cela faisait effectivement une éternité qu’ils ne s’étaient pas vus. « Qu’est-ce que tu fais en Australie ? À Broken Hill en plus ? »
AVENGEDINCHAINS
Quand deux vieux potes se retrouvent, les choses ne se passent pas comme prévu (logan)
La monotonie du quotidien de Logan était affligeante depuis qu’il avait procédé à la rénovation et à l’ouverture de son club. Ses pensées et ses souvenirs le rattrapaient et le hantaient sans cesse. Manque d’activité. Manque de projet. Manque d’occupations pour oublier. Tout oublier. Il se levait chaque matin avec le soleil, allait courir un peu pour déjà se vider la tête de ses nombreux cauchemars, rentrait, se douchait, buvait trop de café, fumait trop de cigarettes, contrôlait ses mails, contrôlait les messages vocaux de son avocat, retrouvait des photos de sa femme, de son fils, dans son téléphone et ne souhaitait alors plus qu’une chose : disparaitre. Toujours le même schéma. Toujours les mêmes erreurs. Généralement, il poussait un profond soupire, se rallumait une cigarette, préparait ses affaires et quittait son appartement pour être obligé de faire bonne figure.